http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/10/projet-une-usine-engrais-plus-1g-becancour.html
Le gouvernement du Québec confirmera mardi la construction d'une usine de production d'engrais dans le parc industriel de Bécancour. Un projet évalué à 1,2 milliard $, selon une source proche du dossier....
..Le projet permettra d'ailleurs de compenser pour les pertes d'emplois occasionnées par la fermeture de la centrale nucléaire Gentilly-2...
Si on lit, dans l'article du projet d'une usine d'engrais, jusque là, on nous fait croire que ce projet vole au secours de la fermeture de la centrale de Gentilly-2, comme si j'étais assez sotte pour croire que tout cela arrive comme un poil sur la soupe.Mais attention on continue de lire
La Coop fédérée s'associe ainsi à la plus grosse coopérative au monde l'Indian Farmers Fertiliser Cooperative (IFFCO).
Investissement Québec 25 millions $ environ pour la réalisation du projet.
La Coop fédérée serait de l'ordre de 50 millions $, le reste, soit près de 1,1 milliard de l'IFFCO.
Près de 300 emplois seraient créés pendant la phase de construction de l'usine..
Les retombées économiques pour le Québec pourraient atteindre près de 1 milliard $ annuellement.
Si on lit jusque là, il reste à Pauline Marois, seulement des 800 emplois perdus 500 emplois à trouver. Bravo Pauline.???
Mais si on continue le chat sort du sac. on nous dit:*Les négociations entre les différents acteurs du projet sont en cours depuis plus d'an* Il me semblait bien aussi, que lorsqu'il y a autant d'argent en jeu...comme quoi les journalistes savent qu'en général, on ne lit pas les articles au complet.
On lit *les retombées pour le Québec* veut dire pour le Québec, on ne dit pas pour Bécancour.
..Les négociations entre les différents acteurs du projet sont en cours depuis plus d'an et la décision d'installer l'usine à Bécancour n'a rien à voir avec la fermeture de Gentilly-2, a indiqué une source proche du dossier. Et il ne fait pas partie du fonds de 200 millions $ prévu pour donner un nouvel essor à l'économie régionale.
La plupart des principales clauses de l'entente ont été conclues bien avant la confirmation de la fermeture de la centrale et l'annonce aurait pu être faite par le précédent gouvernement, selon les informations obtenues par Argent.
Le gouvernement libéral avait mandaté Investissement Québec juste avant les élections pour la réalisation d'une étude sur ce projet.
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