mardi 2 octobre 2012

Une tranche de notre vie, crève-coeur

Cette image nous a carrément crevé le coeur,
et il ne faut pas oublier que nous la devons à Pauline Marois
et je pèse mes mots et en grande partie aussi aux gens de Sherbrooke. 
50 députés libéraux élus dans la province et Sherbrooke ne nous a pas donné le 51ième, soit le chef.
Non, moi je ne le prends pas.
 
Au moment de remercier sa famille cet homme a craqué
j'appelle ça une photo crève-coeur,
que l'on doit se tatouer sur le coeur.
 
 
Désolée, mais moi avant de faire un arrêt à Sherbrooke comme touriste, je vais y penser à deux fois, avant  d'y dépenser des sous . Je ne peux vous trouvez, une seule excuse, mais j'ose espérer que depuis vous avez mesuré l'ampleur de votre choix. Faites votre propre examen de conscience.
 
Pauline, jour après jour, année après année, elle a martèle tellement de méchanceté, que cela est devenu du bonbon pour ceux qui se complaisent, dans des opinions de grandes envergures comme:
*C'est un crosseur, un menteur, un voleur.*
L'image des enveloppes brunes, toujours et encore beaucoup se sentent quelqu'un dans la facilité.
 
C'est comme ça, que vous avez atteint votre objectif,
il n'y a pas de quoi être fière de vous, Pauline Marois.
Et le peuple québécois saura bien vous le dire,
un jour, une fois, pour toute.
 
Si je regarde votre parcourir en image, sur Google image,
votre but atteint est bien médiocre comparé
à Madame Michèle Dionne,
La Grande Dame des Québécois.
 
Mais je dois faire attention, de ne pas trop encenser cette Grande Dame, car Cruella, ou peut-être même le souffre douleur de Blanche Neige, pourrait sortir une de ses potions assassines. Comme elle a fait avec pour n'en nommer que deux: Gilles Duceppe et André Boisclair.
 
Même dans son propre parti, on trouvait qu'elle y allait trop fort, que cela minait les travaux parlementaires. C'en était rendu une écoeurantite aiguë.
 
Mais Pauline attend depuis 30 ans de devenir la première ministre du peuple québécois. Mais voilà, oui, elle est première ministre, mais de seulement 1,400,000 québécois environ, moins d'un tiers des votants.
Qui osera me contredire, parce que dans les faits, c'est tout différent, combien disait je vais voter pour le parti québécois, mais pas pour Pauline.(Son comportement (celui de Pauline) pendant le conflit étudiant fut désolant, nous dit Joseph Facal et qui est Joseph Facal, me direz-vous? pas quelqu'un pour qui j'ai de l'admiration, mais ... il exprime bien ce que je dit, sur le sujet.

Un péquiste-souverainiste Né à Montevideo en Uruguay le 12 mars 1961, Joseph Facal est arrivé au Québec en 1970. politologue, sociologue, chroniqueur et ex-homme politique québécois. du parti québécois
http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Facal
 
 
Joseph Facal. dans Un vote sans aucun enthousiasme le 3 septembre 2012*
* ...On dit souvent que les électeurs votent contre un parti bien plus qu’ils ne votent pour un parti. Ce sera mon cas cette fois.Je ferai ma croix à côté du nom du candidat péquiste. Mais ce sera un vote contre les libéraux d’abord et avant tout. Oui, je sais, je pourrais vous donner une longue liste d’excellentes raisons pour lesquelles j’aurais pu ne pas voter pour le PQ.Je ne le cache pas : ce sera l’un des votes les plus désenchantés de toute ma vie...*
Non, Pauline n'est pas la digne représentante du peuple québécois, pas même celle du tiers des votants, idem au sein même de son parti, il y a  un fossé, comme il y en aura toujours un, c'est une autre devise qui leur est propre, Je me divise, nous nous divisons, et ce même au-delà du sein familial. Preuve en est, le lendemain de la nomination de son conseil des ministres avec Noella Champagne, une élue péquiste de la Mauricie
Elle est élue, mais elle ne sera jamais l'élue de mon coeur en politique. Elle ne sera jamais pour moi, une première, mais la dernière des dernières. Comme femme, je refuse de m'identifier à elle et encore moins qu'on m'identifie à cette personne. À Lise Thériault, pas de problème. Une femme avec une colonne, ça c'est une femme pour moi. On s'en reparle.
Il faut que les libéraux reviennent, et il faut travailler fort.
Je ne suis pas prête d'oublier cette photo de Jean Charest  crève coeur.      
 
à suivre.           
 
 

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